
Oleg Oprisco est un jeune photographe ukrainien que j’ai découvert il y a quelques mois.
Ses photographies sont souvent des portraits. Les femmes y sont régulièrement présentes.
Poétiques et surréalistes, ses prises de vues argentiques sont réalisées dans des formats carrés.
Son univers résonne entre mystère et onirisme et c’est avec plaisir que je vous le partage.
J’apprécie particulièrement la façon dont il réinvente le réel, la manière dont il flotte entre mythe et énigme.
Mon attachement à sa démarche a un goût tout particulier : une de ses photos sera la couverture de mon premier roman ! Quand je l’ai trouvée, j’ai vraiment cru qu’il l’avait faite pour moi, qu’il connaissait Jules !
J’espère que vous l’aimerez autant que moi…
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